Le cancéropôle Lyon Auvergne Rhône-Alpes a été classé numéro 1 français par un comité d’évaluation internationale. Une reconnaissance de l’expertise du pôle régional qui voit ainsi sa dotation maintenue et ses objectifs validés pour les trois prochaines années.
A la suite de l’annonce du 3ème plan Cancer, l’Institut National du Cancer (INCa) a constitué un comité international d’évaluation scientifique pour analyser le bilan et le projet des 7 cancéropôles français. Dans un contexte de réduction des financements, le Cancéropôle Lyon Auvergne Rhône-Alpes (CLARA) se voit renforcé avec une dotation inchangée et ses objectifs validés pour les 3 années qui viennent (2015/2017), validant ainsi le « modèle » CLARA qui a su construire un réseau de recherche en cancérologie de visibilité nationale et internationale.
Plus de 1 500 chercheurs
Le Cancéropôle Lyon Auvergne Rhône Alpes (CLARA) constitue aujourd’hui un réseau de dimension européenne mis en place en 2003 dans le cadre du 1er Plan Cancer. Sa vocation est de décloisonner les organismes de recherche et d’enseignement supérieur et de mobiliser leurs acteurs autour de l’urgence nationale de santé que représente le cancer. En 2014, le CLARA fédère un tissu riche de plus de 1 500 chercheurs, de 1 700 professionnels de santé et de 63 entreprises intervenant sur le marché de l’oncologie et réunis autour de 4 pôles universitaires (Lyon, Grenoble, Saint-Etienne et Clermont-Ferrand). Depuis 11 ans, le CLARA contribue ainsi à positionner durablement Rhône-Alpes Auvergne parmi les pôles de référence de recherche sur le cancer au niveau européen et mondial. Cela se traduit notamment par une meilleure identification des forces scientifiques, le renforcement de l’offre d’infrastructures, une excellence scientifique affirmée et des partenariats internationaux forts. Au travers d’une offre de service complète et unique en France, le CLARA soutient également le développement économique de l’inter-région, en accompagnant le transfert clinique et industriel de la recherche partenariale en oncologie. Ce deuxième volet s’est d’ailleurs vu renforcé en 2013 avec la mise en place d’un partenariat stratégique avec le pôle de compétitivité mondial en sciences de la vie, Lyonbiopole.