Les dents d'une femme arborant un rouge à lèvres éclatant.
Un hydropulseur dentaire nettoie les zones que la brosse ne peut pas atteindre. © Freepik

L’hydropulseur dentaire, également appelé jet dentaire ou irrigateur buccal, est un outil de plus en plus populaire en France pour maintenir une bonne hygiène bucco-dentaire. Cet appareil fonctionne en projetant un jet d’eau à haute pression pour éliminer la plaque dentaire et les résidus alimentaires entre les dents et sous la gencive. On vous explique.

L’hydropropulseur dentaire est un appareil servant à compléter le brossage quotidien des dents. Bien que le brossage soit efficace pour nettoyer les surfaces visibles des dents, il ne parvient pas toujours à atteindre les zones interdentaires et sous-gingivales. Pourtant, c’est dans ces régions que la plaque dentaire et les débris alimentaires peuvent s’accumuler, et créer des dégâts qu’il vaut mieux éviter

Un jet dentaire est équipé d’un réservoir d’eau et d’une pompe qui envoie de l’eau à travers un embout sous forme de jet pulsé. Ce jet peut être dirigé vers les zones que la brosse à dents ne peut pas atteindre, comme les espaces interdentaires et le sillon gingival. Certains modèles d’irrigateur buccal permettent d’ajuster la pression du jet pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque utilisateur.

On l’utilise idéalement une à deux fois par jour, en complément du brossage :

  • Avant le brossage : Pour éliminer les gros débris alimentaires.
  • Après le brossage : Pour nettoyer en profondeur et atteindre les zones inaccessibles.

L’utilisation régulière d’un hydropropulseur dentaire offre plusieurs avantages pour la santé buccale :

En cas de maladies buccales comme les infections aiguës ou les ulcères, l’hydropropulseur peut ne pas être recommandé. Il est important de consulter un dentiste pour savoir si cet appareil est approprié pour votre situation.

À SAVOIR

Bien que les prix peuvent varier selon la marque, on estime qu’en moyenne, un hydropropulseur dentaire coûte entre 70 et 90 euros.

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Vincent Dallée
En troisième année de journalisme à l'ISFJ et créateur d'un petit média scientifique, Vincent Dallée développe ses talents rédactionnels pour Ma Santé, animé par la mission du journaliste d'informer les gens sur leur santé.

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